Tout est rien, tout est vide.

Cette connaissance s'appelle Vipassana. Il faut en avoir conscience. Ne plus privilégier exclusivement politique et économie. À vouloir l'insaisissable, on s'épuise en vain. Il a exercé dans le Service Hospitalo-Universitaire de l’hôpital Sainte-Anne à Paris, au sein d’une Unité de Psychothérapie Comportementale et Cognitive, spécialisée dans le traitement et la prévention des troubles émotionnels, anxieux et dépressifs.

»« Résoudre des problèmes qui s’échelonnent sur un espace aussi grand que celui de notre planète demande à envisager ces problèmes sous un angle global, de concilier l’intérêt de l’individu, de la société et du pays. Il met en lumière avec talent...Le Bouddha ayant enseigné sur une très longue période de sa vie, plus de 45 ans, il modula très souvent son discours pour s’adapter à ses contemporains et remettre en question leurs habitudes de pensée et leur croyance en une vérité unique.

»« Quand le moment est venu d’être actif et d’agir, quiconque, étant jeune et fort, ne fait pas son devoir, s’adonne à la paresse, se montre faible, apathique, sans volonté, celui-là ne trouvera pas le chemin de la sagesse. »« Tous les êtres, qu’ils soient croyants ou non, peuvent s’engager dans une discipline en vue de transformer leur esprit. Mais si vous vous attachez à la vacuité, les Bouddhas eux-mêmes ne peuvent plus rien pour vous. Christophe André est (entre autres) médecin psychiatre, instructeur de méditation et auteur de très nombreux best-sellers comme "Méditer jour après jour", "Trois amis en quête de sagesse", "A nous la liberté ! Mieux vaut rester au centre.

»« Tout bonheur en ce monde vient de l’ouverture aux autres ; toute souffrance vient de l’enfermement en soi-même. »« L’enseignement bouddhiste reconnaît tout être vivant comme un être sensible. »« Quand vous aurez réalisé la Vue de la Réalité grâce à la méditation, quelles que soient les circonstances, vous deviendrez alors semblable au ciel. La pratique de la méditation doit donc être régulière et quotidienne. »« Tout concourt au bien de ceux qui sont engagés sur le chemin de la Libération. C’est la fin de la souffrance. »« Considérer le monde comme réel est attitude animale ; le considérer comme vide est bien plus bête.