Conséquences de la crise du 16 mai 1877, papauté, unification de l'Italie, religion catholique, Darwin, fanatisme religieux, concile du Vatican, démocratie libérale, Léon Gambetta, loi Falloux, Assemblée nationale, Louis Veuillot, réforme intellectuelle, Mac Mahon L’indépendance des ministres est la condition de leur responsabilité. Née du désaccord entre le président de la République, Mac-Mahon , et la Chambre des députés, au sujet de la réalité du pouvoir octroyé par la Constitution de 1875, elle menaça les débuts de la III e République. La crise du 16 mai 1877 et la République des républicains Mac-Mahon se trouva en face d'une Chambre à majorité républicaine et d'un Sénat où les conservateurs l'emportaient de peu. Ainsi sont déterminés nos devoirs et nos droits respectifs. Ces principes, tirés de la Constitution, sont ceux de mon gouvernement« année cruciale de l'enracinement du régime républicainAux élections législatives de 1876, les bonapartistes avaient recueilli 76 sièges, les orléanistes 40 et les légitimistes 24. On a l'impression d'un sabre de bois brandi sans conviction, et « […] La Constitution de 1875 a fondé une République parlementaire en établissant mon irresponsabilité, tandis qu'elle a institué la responsabilité solidaire et individuelle des ministres. crise du 16 mai 1877 Crise politique lors de laquelle le président Mac-Mahon accula le président du Conseil Jules Simon à la démission et proclama la dissolution de l'Assemblée nationale. Le duc de Broglie fait voter le Le principe républicain du régime semble établi définitivement en droit le « Le président de la République est élu à la majorité absolue des suffrages par le La théorie constitutionnelle fait du président de la République le principal acteur du pouvoir exécutif — il dispose de pouvoirs étendus, il a la possibilité de dissoudre la Jules Simon donne des gages à la gauche en épurant la haute administration (préfets et magistrats), ce qui lui vaut l'hostilité de Mac MahonLa campagne électorale officielle s'est ouverte trois mois après la dissolution, le Mac Mahon effectue des voyages de propagande dans le paysGambetta avait de la même manière parcouru le pays — il a été surnommé alors le « commis voyageur de la République ». « Ne croyez pas que quand ces millions de Français, paysans, ouvriers, bourgeois, électeurs de la libre terre française, auront fait leur choix, et précisément dans les termes où la question est posée ; ne croyez pas que quand ils auront indiqué leur préférence et fait connaître leur volonté ; ne croyez pas que lorsque tant de millions de Français auront parlé, il y ait personne, à quelque degré de l'échelle politique ou administrative qu'il soit placé, qui puisse résister. Le suffrage universel continuait à renforcer la gauche. Les monarchistes sont affaiblis et perdent leur influence politique. Si cette crise s'est bien ouverte le 16 mai, lorsque le président a nommé un chef de gouvernement conforme à ses … Par la suite des élections ont lieu, les républicains l'emportent à chaque fois. Cela signifie que le parlement refuse d'investir le gouvernement.Ce qui a pour effet de mettre fin à la session parlementaire en cours, et d'empêcher les chambres de se réunir.Les sources divergent : M. Morabito et J.-J. When the royalist President Patrice MacMahon dismissed the Opportunist Republican Prime Minister Jules Simon, the parliament on 16 May 1877 refused to support the new government and was dissolved by the President. Ces nouvelles partielles portent à près de 400 le nombre des républicains« Sur cette interprétation de la Constitution de 1875 se clôt l'épisode dit du Dans la mythologie républicaine, le 16 mai est à ranger, avec le Entre la monarchie constitutionnelle et la république parlementaireEntre la monarchie constitutionnelle et la république parlementaire« Il nomme à tous les emplois civils et militaires »« véritable centre de l'opposition entre les organes constitués « profondément républicain et résolument conservateur selon ses propres mots« Monsieur le Ministre, j'accepte votre démission […]. »« Nous partons trois cent soixante-trois, nous reviendrons quatre cents »« La Chambre des députés, considérant que le ministère, formé le 17 mai par le président de la République et dont M. le duc de Broglie est le chef, a été appelé aux affaires contrairement à la loi des majorités, qui est le principe du gouvernement parlementaire […], déclare que le ministère n'a pas la confiance des représentants de la nation« Mon gouvernement vous désignera parmi les candidats ceux qui peuvent s'autoriser de mon nom« Soldats […] vous comprenez vos devoirs, vous sentez que le pays vous a remis la garde de ses plus chers intérêts […]« la négation des droits de la nation et des droits parlementaires« on perçoit dans le gouvernement des oscillations, des angoisses, des velléités, tout cela est extrêmement faiblard.