douze mille critique

Ca passe du coq à l’âne et au résultat on ne sait plus sur quelle histoire repose un suspense qui n’en est pas un, un retournement de situation qui n’apprend pas grand-chose, un prise de tête qui en est réellement une. Publiée le 18 mai 2020 12 000...Pas plus.

Je ne comprends pas l'engouement découlant de certaines critiques.

Jean-Pascal Zadi, John Wax

Jean-Pascal Zadi, Fary, Caroline Anglade Venant s’ajouter au désir qu’il a pour Maroussia, un désir qui, pour lui, doit se mériter, nait en Frank un autre désir : réunir cette somme en deux mois, quitte à partir à 700 kilomètres de celle qu’il aime, quitte à devenir un Ulysse du 21ème siècle laissant seule sa Pénélope, quitte à courir le risque de succomber à l’infidélité.De nos jours, le libéralisme économique exacerbé, qu’il soit néo ou pas néo, a tendance à instiller son venin dans tous les domaines de notre vie, et, tout particulièrement, dans la vie familiale et dans les relations amoureuses. Si le scénario est original, son traitement verse dans un misérabilisme suranné, voire parfois dans la vulgarité, lorsqu’il s’agit de mettre sur le même plan sexualité et argent. Avec "Douze mille", Nadège Trebal négocie avec bonheur son arrivée dans la fiction.

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Elles introduisent un soupçon de féérie dans une histoire qui, sans elles, serait bien plate. "Douze mille" et "1917" sont sortis le même jour. Mais pour la sensualité prolétarienne, on repassera...

Nadège Trebal, la réalisatrice, vient du documentaire.

Nadège Trebal donne de sa personne en interprétant, sans fard, le personnage principal et en nous offrant une des scènes d’amour les plus authentiques qu’on ait vues depuis longtemps à l’écran.

Lire ses 2 138 critiques Car le septième long-métrage de Sydney Pollack nous paraît faire figure d'exemple – à dessein ou involontairement, peu importe – de la frilosité des films hollywoodiens à l'égard de quelque prise de position politique que ce soit. Retrouvez toutes les dernières critiques sur le film Douze Mille, réalisé par Nadège Trebal avec Arieh Worthalter, Nadège Trebal, Liv Henneguier. [...] "Douze mille" est le récit d’un désir à maintenir jusqu’au bout.

La réalisatrice a fait appel au chorégraphe Jean-Claude Gallotta pour mettre en mouvement les corps. JanosValuska Maroussia gagne petitement sa vie en faisant de la garde d’enfants : douze mille euros par an.

Eran Naim, Stav Almagor, Stav Patai Publiée le 20 mai 2020 Douze mille est un peu tout cela. Cette odyssée prolétaire fait rimer politique et sensualité avec une telle originalité que, dès lors que le récit revient dans les clous, il peut susciter de l’ennui. Cf. Sa fierté lui impose de partir chercher du travail loin du domicile conjugal, où l'attendront sa femme, la fille de celle-ci et une vieille dame avec qui ils ont un arrangement de type viager informel, afin de gagner 12000 euros, soit ce...

Film très sympathique portant sur l'asservissement, à l'argent ou à l'amour.

Elisabeth Moss, Oliver Jackson-Cohen, Harriet Dyer : Mais la réalisation part très vite dans la démesure. Suivre son activité Et le reste. Pas plus, pas moins.

Le film finit par se dissoudre, un peu empêché par un scénario riche mais resserré, sans doute plus travaillé par sa recherche d’originalité que par le souffle d’incarnation de sa propre fiction.

Comme une mise en scène à contre temps , qui rend l’intrigue insuffisante et son contenu de plus en plus hermétique, même si les images sont assez évocatrices. L'amour physique ou son désir est omniprésent, et la danse chorégraphié par Jean-Claude Gallotta permet de bien signifier verticalement un désir horizontal.