car déjà tu souris de pitié, c'est-à-dire à la guerre on n'est pas touché de pitié, et même il n'est pas sûr de l'être.PITIÉ, COMPASSION. Avoir pitié de son prochain. Au reste, en quelques textes les deux sens se confondent.un contenu abusif (raciste, pornographique, diffamatoire) Menu . Sans pitié Film. Sentiment d'affliction que l'on éprouve pour les maux et les souffrances d'autrui, et qui porte à les (voir) soulager; disposition à éprouver ce sentiment.. Elle s'aperçut qu'elle avait à côté d'elle (...) une grande détresse, une souffrance semblable à celle qu'on rencontre dans les romans, les livres (...). Ce serait grand-pitié s'il ne trouvait pas la sécurité pour ses vieux joursLa grande pitié qu'il y avait au royaume de France. Ce qui les distingue, c'est que pitié exprime plus particulièrement la qualité, la vertu, et compassion le sentiment, Aussi, pour peu qu'on personnifie, c'est de pitié que l'on se sert, et non de compassion ; et, dans la fable, quand le roseau dit au chêne : Votre compassion part d'un bon naturel, c'est compassion qui convient et non pitié.À icel jor serez tuit mal bailli [tous en mauvais sort], Se sa pitié [de Dieu] ne couvre sa puissanceSeigneur, li baron de France.... vous crient merci, qu'il vous preigne pitié de la cité de JerusalemEt sachiés bien veritelment, Qu'ele [tristesse] ploroit profondement : Nus [nul], tant fust durs, ne la veïst, à cui grant pitié n'en preïstOn ne meffet pas en delaier le jugement por savoir se li sovrains en aroit pité ou merciPitiez est uns diz qui à la fin [du discours] aquiert la misericorde des oianzEt disoient li plus des plus grans qu'il y a, Que c'estoit grans pitez que Pietres tant regnaLaquelle chappellenie nous avons donnée en pitié et en aumosne à nostre bien amé chappellinSi en y avoit plusieurs qui ploroyent de la joye et de la pitié qu'ils avoient de ce qu'ils le recevoient dedans leur ville [Charles VII rentrant à Paris][St Michel] lui raconta la pitié qui estoit au royaume de France, Procès de Jeanne d'Arc, cité par MICHELET, Hist. Synonyme définition. Voir la liste des synonymes des mots commençant par la lettre : La plupart des définitions du français sont proposées par SenseGates et comportent un approfondissement avec Littré et plusieurs auteurs techniques spécialisés. c'est-à-dire que la chose mérite de dédain !Quelle pitié !
Piedad; portug. En savoir plus [+] sentiment qui porte à plaindre, à compatir au spectacle des souffrances d'autrui.sentiment qui porte à partager les malheurs d'autrui. Usage des synonymes. Tous droits réservés.Les cookies nous aident à fournir les services. Les synonymes sont classés par ordre de pertinence. de la toison d'or, t. II, f° 64, dans LACURNEJe estime que cecy vient de Dieu qui regarda en pitié ce royaulmeLa lyesse eust esté comble et parfaicte, sans les grandes pitiez que nous veismes au camp du duc d'AlveSi elles [les vestales] venoient le moins du monde à faillir de leur corps, elles estoient cent fois plus punies rigoureusement que quand elles n'avoient pas bien gardé le feu sacré, car on les enterroit toutes vives avec des pitiez effroyablesBourg. C'est une pitié de voir sa façon de travailler.orgueilleux, qui regarde en pitié tout le genre humain.Regarder, parler, traiter avec une pitié méprisante,Tout ou partie de cette définition est extrait du Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition, 1932-1935 Le dictionnaire des synonymes permet de trouver des termes plus adaptés au contexte ou des termes plus précis que ceux utilisé habituellement. pidié ; prov. Son état est à faire pitié.
(D'Olivet, Hist. • Dont le courage étonne, et le sort fait pitié (CORN.
Grâce à vous la base de définition peut s’enrichir, il suffit pour cela de renseigner vos définitions dans le formulaire. ([La pitié considérée en tant que qualité, vertu de l'âme]Christ représenté iconographiquement avec les cinq plaies de la Passion dans une attitude d'acceptation.Grâce totale ou partielle accordée à une personne coupable d'une faute ou qui a été vaincue.,,Avec une apparence de pitié mêlée à des marques de mépris`` La pitié que l'homme doit avoir à DieuHist.
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Holwell a vu dans son gouvernement, en 1734, la plus belle femme de l'Inde, âgée de dix-huit ans, résister aux prières et aux larmes de milady Russell, femme de l'amiral anglais, qui la conjurait d'avoir pitié d'elle-mêmeLa pitié qu'elle [Mme de Monaco] a faite n'a jamais pu obliger personne de faire son élogeNe vous fais-je point un peu de pitié de passer ma vie sans vous voir ?Votre petite d'Aix me fait pitié d'être destinée à demeurer dans ce couvent.... en attendant une vocation, vous n'oseriez la remuer, de peur qu'elle ne se dissipeLa Pologne était nécessaire à son Église [de Dieu], et lui devait un vengeur ; il la regarda en pitiéUn bûcheron perdit son gagne-pain... Ce fut pitié là-dessus de l'entendrePour vous elle est de flamme.
H. de Bouillane de Lacoste, t.4, p.41); 1729 quelle pitié!