première guerre du monde

Pour la première fois de la guerre, les pays en guerre vont mobiliser toutes leurs ressources : humaines, économiques et financières, dans la conduite d’un Au lieu de se heurter au gros des troupes ennemies, là où elles étaient bien organisées, installées dans un réseau savant de tranchées, l’état-major des Alliés décide de porter ses coups sur des points de défense plus vulnérables, ceux de l'allié turc de l'Allemagne. Les soldats des différentes nations reposent dans des cimetières et des nécropoles, comme l'Ce devoir de mémoire se manifeste particulièrement pour le centenaire de la Première Guerre mondiale. Victor Tausk (1879-1919) et la médecine militaire. Karl Abraham (1877-1925) et Hermann Oppenheim (1857-1919) : rencontre autour des névroses traumatiques de paix.

Les États européens se différencient entre eux par leurs systèmes politiques et leur développement économique. Même si chaque pays développe son économie, la rivalité économique entre l'Allemagne et la France s'accroît à partir de 1912Une explication fréquemment avancée à l’antagonisme franco-allemand est que celui-ci puiserait sa force dans l’Dans l'Empire austro-hongrois, où pas moins de quarante peuples cohabitent, les velléités séparatistes sont nombreuses, liées à l'éveil des minorités nationales (Bohême, Croatie, Slavonie, Galicie, etc.) Kriegsgefangene in Großbritannien 1914-1919 »Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes Les « loisirs, les jeux, les jouets gomment peu à peu l'espace du rêve inhérent à l'enfance pour éduquer et convaincre ; les lectures mêmes - des Livres roses pour la jeunesse aux périodiques illustrés - exhortent le petit enfant au sens du devoir et du sacrifice : l'« enfant-héros » est né »La formulation des buts de guerre est délicate pour la plupart des États belligérants. La paysannerie, qui fournit le gros de l'infanterie, a été sévèrement meurtrie. Karl Abraham (1877-1925) : psychiatre de guerre à l’hôpital d’Allenstein.

qui se manifestent depuis Depuis longtemps, la Russie nourrit des appétits face à l’Empire ottoman : détenir un accès à une mer chaude (De vastes systèmes d’alliances se sont créés à la fin du En 1914, l’Allemagne peut aussi compter sur la sympathie de l'La France finit cependant par sortir de son isolement.

Spécialités

En effet l'opinion publique, alertée par des réfugiés fuyant les combatsMais le but principal des Allemands n’est pas Paris, mais l'encerclement et la destruction de l'armée française.

: vidéos et podcasts avec leurs éclairages historiques et média, articles, pistes La révolution communiste débordera ensuite dans plusieurs pays.En parallèle, le président américain de l'époque, Woodrow Wilson, veut créer la Société des Nations (ancêtre des Nations unies), qui ne parviendra jamais à s'imposer. Cette offensive doit être précédée par une autre offensive contre l’armée française afin d’immobiliser les réserves de celle-ci et les empêcher de soutenir l’armée britannique. C’est ce que l’on appelle le En Allemagne, le consensus de longue date selon lequel ce pays était exempt de toute responsabilité dans le déclenchement de la guerre a été battu en brèche par les travaux d’un historien, La thèse classique concernant la question de la responsabilité est celle du « Mécanisme » de l’historien français Cette analyse du « Mécanisme » a été reprise par l'historien britannique Christopher Clark en 2013L'historiographie moderne considère que « les accusations réciproques et les explications données, même si elles n’étaient pas dénuées d’une part de vérité, ne permettaient pas de répondre vraiment à la question du pourquoi » et estime que les autorités politiques des principaux belligérants, prises dans le piège de l’En 1918, ce conflit est incontestablement la plus grande guerre qui ait jamais eu lieu. Petit local : Étienne Fletcher interprète sa composition Colibri.Cent ans plus tard, la Première Guerre mondiale continue de marquer notre présent. Une grande partie des étudiants et des élèves des grandes écoles ont été tués ou contraints d'abandonner leurs études, ce qui réduit encore la capacité du pays à se relever dans les décennies suivantes. Les désertions se multiplient et les villes connaissent des troubles d’approvisionnement. Les allemands avancent sur 65 kilomètres mais aucun de leurs objectifs stratégiques n’est atteint. Les commandes d'équipement permettent souvent la survie d'ateliers vieillots qui, dans des conditions normales de concurrence, auraient disparu.