Le système regroupe de manière traditionnelle trois sous-ensembles fonctionnels : Pour parvenir à respecter le devis de poids, de nombreux équipements présents sur la version 7K-OK (périscope, capteurs) sont supprimés, et la quantité d'ergols embarquée est limitée à 400 À la suite de cet accident, le vaisseau est modifié pour accroitre la sécurité des cosmonautes.
Le système actif est constitué d'un circuit régulant la température et l'humidité des modules orbital et de descente et d'un deuxième circuit chargé d'évacuer la chaleur produite par l'électronique du bord dans le module de service. Pour déterminer son orientation Soyouz utilise plusieurs capteurs. Le système de poursuite radio (RKO) répond aux signaux émis par les stations de poursuite au sol pour calculer la position et la trajectoire du vaisseauLa régulation thermique est assurée à la fois par un système passif et actif. Ces projets n'ont jusqu'à présent pas pu être réalisés faute de moyens financiers ou d'applications. Théoriquement le rendez-vous pourrait avoir lieu plus rapidement mais cela nécessiterait de consommer une quantité de carburant dont le vaisseau ne dispose pas. Le lanceur Soyouz est mis en service en 1966. Il apparait très rapidement que l'échéance du cinquantenaire de la Révolution fin 1967 ne sera pas tenue. Comme chacun des propulseurs du premier étage, il dispose de quatre chambres à combustion et 1 jeu de turbopompes mais compte par contre quatre moteurs-verniers au lieu de deux. C'est une technique qui a été également utilisée par le passé lorsque tous les autres systèmes d'alignement étaient en panne avant la mise en feu des rétrofusées pour le retour sur Terre. Par ailleurs deux Le vaisseau peut adopter trois modes d'orientation en fonction des phases de son volPour initialiser la position du vaisseau, le commandant du vaisseau peut utiliser l'écran du périscope (Vzor) qui lui permet d'aligner le vaisseau sur l'horizon. Le deuxième étage doit recevoir un moteur Bien que la fusée pouvait être développée en réalisant des modifications réduites et à partir d'éléments de la N1 déjà disponibles, l'argent fit défaut, si bien qu'Yamal ne fut jamais développée. Les couchettes sont placées au fond du module, non loin de la cloison derrière laquelle se situe le bouclier thermique. Après le report du tir programmé initialement hier matin depuis la base de Sinnamary, Arianespace et ses partenaires russes ont prévu le lancement de Soyouz ce mercredi matin. Cet étage est désigné par la lettre A tandis que les quatre propulseurs du premier étage sont désignés par les lettres B, W, G et D (correspondant aux cinq premières lettres de l'Le troisième étage utilise un moteur RD-0110 qui fonctionne également avec du kérosène et du LOX. Durant cette période les cosmonautes contrôlent et éventuellement corrigent à intervalles réguliers les corrections d'orbite qui sont effectuées par le système pour faire converger les trajectoires du vaisseau et de la station spatiale. Huit tests sans équipage sont programmés, puis quatre vols habités. Soyouz au Centre Spatial Guyanais Le lanceur Soyouz cumule le plus grand nombre de lancements au monde. L'orientation du vaisseau est réalisée en faisant fonctionner par de brèves impulsions des petits moteurs destinés au contrôle de l'attitude (26,5 N) ou au contrôle de l'attitude et aux corrections d'orbite (130 N). Il est alors décidé d'adapter le nouveau modèle pour la desserte des stations spatiales civiles et le vaisseau est renommé La version définitive du Soyouz T est opérationnelle en 1978. Deux vols sans équipage ont lieu cette année (sous l'appellation « Cosmos ») puis La nouvelle version qui est opérationnelle depuis le Soyouz MS est sans doute la dernière version du vaisseau. Il dispose à cet effet de deux manettes disposées de chaque côté de sa couchette ; l'une permet d'effectuer des manœuvres de translation dans les trois axes (accroitre la vitesse, rehausser l'altitude...) tandis que l'autre agit sur l'orientation du vaisseau (roulis, tangage, lacet). Lancement Soyouz MS-16 : Trois astronautes vont rejoindre l’ISS (Direct) Malgré le Covid-19 la rotation des membres de l’équipage de la station spatiale internationale se poursuit. Comme tous les vaisseaux spatiaux, Soyouz embarque un système de guidage, pilotage et navigation embarqué.