témoignage officier historien

De plus, son « entreprise » tout de même était la meilleure, celle qui pouvait le plus servir au peuple. Abdelkader Amane et Louisette Ighilahriz, deux anciens membres du Front de libération nationale (FLN), témoignent des tortures qu’ils ont subies de la part de soldats français pendant la guerre d’Algérie.Pendant la guerre d’Algérie, l’armée française a recouru de façon quasi systématique à la torture contre les suspects de soutenir la cause du FLN. Tout ce qu’il a fait, c’est pour aider le peuple, lui épargner tous ces gens qui étaient contre la sécurité, l’État. Il analyse cela plus cruellement (pour lui) puisque la dernière phrase du texte est « Nous devrions laisser à d’autres le soin de trahir les idéaux… » (sous entendu nos idéaux).Plus que le témoignage d’un officier de la Stasi, cela m’a semblé être le témoignage d’un homme qui est en train de tout perdre, qui doit tourner un page parce que l’Histoire est en train de la tourner pour lui, peut être un peu trop vite pour pouvoir être digéré facilement. Pour la consulter, veuillez d'abord vous connecter en utilisant le lien suivant: Colonisation, décolonisation, émergence du Tiers MondeMémoires de la guerre d'Algérie: Voir les documents précédentsMémoires de la guerre d'Algérie: Voir les documents suivants Consulter toutes les vidéos pour Mémoires de la guerre d'Algérie Colonisation, décolonisation, émergence du Tiers Monde Consulter toutes les vidéos pour Guerre d'Algérie Colonisation, décolonisation, émergence du Tiers MondeColonisation, décolonisation, émergence du Tiers Monde: Voir les documents précédentsColonisation, décolonisation, émergence du Tiers Monde: Voir les documents suivants Consulter toutes les vidéos pour Colonisation, décolonisation, émergence du Tiers Monde Louisette Ighilahriz: Voir les documents précédents Les acteurs de l’audiovisuel public, le ministère de l’Education nationale, le ministère de la Culture, La ligue de l’enseignement, Canopé, le CLEMI s’engagent dans une offre unique au service de l’éducation. L’officier revient sur sa vie et son engagement pour son travail. Le témoignage de Louisette Ighilahriz, interrogée chez elle à Alger, n’est pas moins déchirant, surtout lorsqu’elle raconte les différents sévices qu’elle a subis ainsi que son désir de mettre un terme à ses jours « là où ils ont essayé de forcer la dose ». La voix blanche, Louisette Ighilahriz ne cache d’ailleurs qu’à grand peine son émotion lors de son récit. Cette entreprise concerna au premier chef le témoignage. Si vous voulez lire ce livre pour les mêmes raisons que moi, il faut abandonner de suite car il ne décrit absolument pas ce qu’était son travail (à part quelques bribes sur le recrutement et l’utilisation des collaborateurs non officiels, mais avec ses yeux cela reste assez inoffensif). J’ai été intéressée par la première partie qui fait un parallèle entre la violence de la bande à Baader et celle de la Stasi, par l’analyse sur le fait que la Seconde Guerre mondiale (absence de père, prisonnier ou mort …) a préparé le terrain pour l’Allemagne de l’Est (ce que tu ne trouves pas chez toi, l’État te le fournira). Le témoignage anonyme de l’officier de la Stasi est censé avoir été écrit au moment de la dissolution de celle-ci, le jour donc où cet officier est licencié. Il n’y a aucune réflexion, aucun repentir, rien (il faut dire que c’est un témoignage écrit à chaud et donc sans recul).Bien sûr, l’auteur revient sur les récents évènements qui n’étaient absolument pas prévus par la Stasi qui écoutait vraiment tout pourtant. En lisant, on a l’impression de lire le témoignage d’un cadre licencié dans la plus inoffensive entreprise. J’ai eu l’impression qu’il regardait cela de loin, comme s’il ne pouvait plus maintenant changer l’Histoire, son histoire. Merci aux premiers lecteurs de l’article : Jean-Jacques Becker, Stéphane Audoin-Rouzeau, Jean-François Chanet, Anne Rasmussen et Leonard V. Smith. Le Mur de Berlin est tombé, l’Allemagne pas encore réunifié. Le témoignage de Louisette Ighilahriz, militante algérienne du Front de libération nationale victime de la torture, paru dans TOUS DROITS DE REPRODUCTION ET DE DIFFUSION RESERVES ©2019 INSTITUT NATIONAL DE L'AUDIOVISUEL Colonisation, décolonisation, émergence du Tiers MondeColonisation, décolonisation, émergence du Tiers MondeColonisation, décolonisation, émergence du Tiers Monde Cette vidéo est reservée aux utilisateurs éduthèque. 1. L'article du Monde évoquait aussi l'édition - sous le titre de l'Etrange Défaite - du dit témoignage. En fait si, parce que les gens de la Stasi ont été rendu à la vie civile alors que dans d’autres pays où les régimes se sont effondrés, les fonctionnaires sont restés dans les administrations, qui ont juste été renommées et réorganisées. La pratique de la torture par l’armée française pendant la guerre d’Algérie était en effet revenue au premier plan de l’actualité à compter de juin 2000. Raphaëlle Branche montre que dès la bataille d’Alger en 1957 la torture est devenue « l’arme reine du conflit », « une violence employée à dessein, pour gagner » (Ce reportage consacré aux témoignages de deux anciens membres du FLN victimes de tortures pendant la guerre d’Algérie a été diffusé dans le journal télévisé de vingt heures de France 2 le 23 novembre 2000. Rémy Porte, officier et historien, qui dresse, dans 1940, la liste des « vérités et légendes » de la campagne, juge, certes, la population française « résignée », en 1939. Il s’est dévoué à son travail, n’a pas compté ses heures, est monté dans la hiérarchie à la force du poignet, a mis sur pied une équipe de collaborateurs extraordinaires… Il ne comprend pas comment tout cela peut se terminer. l’historien, comme un archéologue, doit situer dans leur contexte s’il veut être capable de les comprendre.