fin du film la religieuse



Lire ses 1 614 critiques Diderot s'est inspiré d'un fait divers : le procès perdu d'une jeune femme qui réclamait contre ses voeux. Dan Scanlon

Passionnant

Publiée le 25 mars 2013



Très bon film c'est certain sur beaucoup de plans (jeu des acteurs, décors, costumes, émotions dégagées etc...).

Jeon Do-Yeon, Woo-Sung Jung, Seong-woo Bae



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Qui ne fait qu'être la martyre des erreurs de sa mère, préférant la cachée aux yeux du monde, plutôt que d'affronter sa faute.



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Quelques annèes auparavant, Rivette et Jean Grimault avaient dèjà adaptè pour la scène ce roman de Diderot, dont l'hèroïne, Suzanne Simonin, est enfermèe au couvent par ses parents et subit un traitement sèvère de la part de ses supèrieures, avant d'être sèduite par l'une d'elles, subjuguèe par ses charmes!




Suivre son activité Je me souviens d'une version précédente (de qui ?)

John David Washington, Robert Pattinson



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Pauline Etienne est une révélation, mais elle est bien accompagnée





La religieuse, on devrait plutot dire, la "victime" est l'éblouissante Pauline Etienne dans un rôle très fort, voire marquant, et qui devra sans doute changer de registre pour n'être pas enfermée par ce rôle....
Un véritable chef d’œuvre !



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Le film ne choisit pas la ligne anticléricale de Diderot, et privilégie le libre arbitre mais il faut aller voir de film : un véritable chef d’œuvre !



Formellement, le réalisateur a pris le parti du minimalisme radical, de la lenteur austère.

Dommage.

Publiée le 22 mars 2013

François Ozon Publiée le 20 mars 2013



Et je ne pouvais que lui donner raison.





Christopher Nolan avec L’enfermement, la soumission, la terrible trilogie chasteté - pauvreté – obéissance et ses alternatives : le mysticisme, le sadomasochisme, la sexualité… avant l’ultime : la mort choisie, conçue comme un départ.

La répétition des expériences traumatisantes aura raison de sa foi en la vie libre dont elle rêvait.



Deux grandes parties distinctes, les brimades et la soumission au monde de l'église, temps très fort, bien rythmé (où joue Louise Bourgoin) et la seconde partie, la perversité, les dérapages sexuels, beaucoup) plus troublant et coloré, où apparaissent Isabelle Huppert et Agathe Bonitzer....

Si vous aimez les drames d'époque, les histoires poignantes de femmes qui luttent pour leur liberté, vous aimerez ce film. Sans sombrer dans les orgies sadiennes, La Religieuse n'en est pas moins une illustration des infortunes de la vertu... Jacques Rivette adapte le roman de Diderot et signe une œuvre ecclésiastique puissante et (très) austère malgré des scènes saisissantes.

: Cote globale 7.3. Publiée le 27 décembre 2012 Très belle surprise aujourd'hui en allant voir La religieuse. Cette fois, point de censure pour cette nouvelle adaptation du chef-d’œuvre de Diderot. Les meilleurs films de tous les temps selon les spectateursLes meilleurs films de tous les temps selon la presse Au moment où sort sur les écrans une nouvelle adaptation du brûlot de Diderot, il n’est pas inutile de se replonger dans celle de l’austère Jacques Rivette dont c’était en 1966 la deuxième réalisation. Suivre son activité



Il a ensuite brodé et plus ou moins fantasmé autour de certaines pratiques (persécutions sadiques, amours saphiques...) dans les couvents, lieux secrets dont on ne savait finalement pas grand-chose à l'époque.



La démonstration est sans doute trop manichéenne pour paraître complètement réaliste mais Anna Karina tout à la fois cristalline et volontaire permet de dépasser le manque de nuance d’un scénario qui pourrait rendre le film assez froid sans la présence miraculeuse (sans jeu de mots) de la belle actrice danoise.





Suivre son activité Rivette débute son film par une scène poignante.