procès pour avortement

En 1978, l’avocate défend devant les Assises d’Aix-en-Provence, les victimes d’un viol collectif, conduisant la campagne pour modifier la loi sur le viol dont elle obtient la redéfinition en 1980. Le 21 février, à la mairie du Xe arrondissement, avec comme témoins Louis Aragon et Jean Lurçat, nous posâmes sur le grand escalier de pierre, après la brève cérémonie, pour le photographe du quartier". Dans ses livres, Gisèle Halimi n’en parle pas comme si cela allait de soi. En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies dans les conditions prévues par notre Au cours du procès de Bobigny en 1972, Gisèle Halimi défendait une jeune fille jugée pour avoir avorté ainsi que quatre autres femmes impliquées dans l’affaire.

C’est le moment culminant de "la Bataille d’Alger" qu’accompagne de Paris, le zèle à l’exécution du ministre de la justice et les approbations dans la confusion du président Coty. Cinq femmes y furent jugées : une jeune femme mineure qui avait avorté après un viol, et quatre femmes majeures, dont sa mère, pour complicité ou pratique de l'avortement. Le procès de Bobigny est un procès pour avortement qui s'est tenu en octobre et novembre 1972 à Bobigny (Seine-Saint-Denis). Dès son enfance, cette fille éveillée se trouve choquée dans sa famille, par le racisme français à l’adresse des "Arabes", et à l’école, heurtée par le racisme antisémite visant les "Youpins", sans parler du mépris grossier des garçons à l’égard des filles. En 1973, elle va défendre au Congo-Brazzaville, des coopérants accusés de complot par les continuateurs des pratiques coloniales après les indépendances mêmes. Selon Gisèle Halimi, Pas sûr que Gisèle Halimi se reconnaîtrait dans le féminisme actuel incarné par une extrême gauche communautariste (port du voile) et un extrémisme systémique à l'égard des hommes............Toutes ces représentantes de ce féminisme font plus de mal à la cause féminine qu'autre chose...Avant le féminisme était incarné entre autre par Delphine Seyrig..maintenant majoritairement par des militantes LGBT, et la plus part du temps ça fait pas envie...A l'époque, à l'Est communiste l'avortement était libre et - évidemment - gratuit. Il s’agissait de lutter pour la révision de la loi de 1920, interdisant aux femmes de maîtriser leur fécondité par des moyens contraceptifs ou abortifs. Duponpon de Ligonés était-il pour ou contre l'avortement ?Il était pour, mais il a vraiment attendu trop longtemps...Depuis 1974, le nombre d'IVG par an oscille autour de 200.000, en dépit de l'augmentation de la population. Gisèle Halimi tente une carrière politique, d’abord en lançant Choisir dans l’élaboration d’un « programme commun des femmes » : elle présente cent femmes aux élections législatives de 1979 ; un échec. Peut-être vers 1923 au moment du débat sur "la naturalisation" des immigrants italiens, qui accélère la francisation des Juifs ; ou avant. Un peu plus tard, alors qu’elle croise son violeur, elle lui raconte qu’elle s’est débarrassée de l’enfant. Elle se voue principalement au mouvement pour l’égalité entre homme et femme, particulièrement dans le combat contre l’interdiction d’avorter, tant en prenant place dans le champ politique qu’en conduisant la défense dans les procès. Mariée en deuxièmes noces, à vingt-deux ans, avec un fonctionnaire français administrateur civil dans l’agriculture, Paul Halimi, elle conserve ce nom qui accompagne sa carrière d’avocate. J’y consentis en me persuadant qu’avec mon autonomie économique, mon insertion professionnelle, notre engagement politique commun, et enfin nos âges (Claude est mon cadet de deux ans), je limitais sérieusement les risques. Cela prouve bien que l'IVG reste une solution de dernier recours, notamment pour des filles issues de familles traditionalistes où on ne parle pas de sexe et où on interdit aux filles d'avoir recours à la contraception.martins, le démocrate de la manif pour tous, ce rassemblement sectaire.Née dans une famille pauvre du quartier réputé "juif" de La Goulette, petit port balnéaire en avant de Tunis, Zeiza (pour Gisèle) Taïeb, appartient à une famille de "juifs de Tunisie" ayant acquis la citoyenneté française ; on ne sait depuis quand.