service central du renseignement territorial recrutement

Après recoupement et analyse approfondie, ils transforment cette information en renseignement.Des Fiches de renseignement élaboré (FRE), des Fiches de renseignement élaboré confidentielles (Frec) ou des Fiches entité (FIE) sont alors rédigées pour transmission aux échelons territoriaux de commandement, notamment par les Officiers adjoints renseignement (OAR) (départementaux, régionaux ou zonaux).Les unités de terrain concernées sont alimentées en renseignements et analyses, contribuant à la prise de décision opérationnelle. La première, c'est la sous-direction de l'anticipation opérationnelle (SDAO). Elle centralise et analyse le renseignement à « chaud » et à « froid.. À l’horizon de l’été 2017, 73 ART seront créées, représentant un total de 150 gendarmes.Cet échange institutionnel se fait également entre l’OAR et le chef du R.T. (départemental, régional ou zonal), grâce au Bureau de liaison (BDL), mais également avec les différents acteurs du renseignement (pénitentiaire, P.J., direction zonale de la sécurité intérieure) lors des Groupes d’évaluation départementaux (GED), sous l’égide du préfet, pour un suivi particulier des personnes signalées radicalisées. La direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) et le service central du renseignement territorial (SCRT) assurent, chacun pour leur part et selon leurs compétences, les missions qui leur sont confiées.Après l’affectation et la prise de poste, le policier bénéficie d’un stage d’intégration dans le service concerné.Recevez les dernières informations sur les recrutements de la Police nationale Parmi les 500 agents qui seront recrutés au renseignement territorial, 350 sont policiers, et 150 sont gendarmes. le capitaine Éric Costa Policier du renseignement Missions La direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) et le service central du renseignement territorial (SCRT) assurent, chacun pour leur part et selon leurs compétences, les missions qui leur sont confiées. Il s’appuie notamment pour cela sur le maillage territorial de la gendarmerie et, depuis 2015, sur les Antennes de renseignement territorial (ART) qui complètent le dispositif.Ces dernières, composées de deux gendarmes placés pour emploi sous l’autorité du Service départemental du renseignement territorial (SDRT), servent d’interface avec les diverses unités de la gendarmerie et peuvent également effectuer des recherches en profondeur en zone de compétence gendarmerie. L’échange central avec le SCRT se fait au niveau de la SDAO.Cette imbrication est d’ailleurs matérialisée par des nominations croisées. Des sections zonales de recherche et d'appui sont mises en place en son sein afin d'appuyer les structures territoriales et le chef du SCRT devient directeur central adjoint de la sécurité publique. S'agissant de l'information générale, le SDIG devient Service central du renseignement territorial (SCRT) 33 . De surcroît, cette imbrication est facilitée par le travail de trente-trois gendarmes affectés au sein de l’échelon central du R.T.L’apport de la gendarmerie au profit du R.T. est donc double : un renfort par un effectif inséré à hauteur de 289 ETP et une pleine contribution de sa chaîne de renseignement. - publié le

A la DGSI en revanche, des civils devraient faire partie des 500 nouveaux recrues .

Grâce au renseignement qu’elle recueille, la gendarmerie améliore la conception, la planification et la conduite de ses opérations et contribue au renseignement territorial.Grâce à son maillage territorial, la gendarmerie dispose d’un grand nombre de capteurs (gendarmes d’active et de la réserve opérationnelle). En Gendarmerie, le renseignement marche désormais sur deux jambes. Présentation de la Sous-direction de l’anticipation opérationnelle