L’argument d’autorité est un argument imposé … Les autorités ne peuvent pas être écartées des questions qui les concernent car elles ont des responsabilités. Le pouvoir se manifeste : soit comme une propriété inhérente aux choses entendue en termes de capacités, soit comme un attribut conféré par un groupe social, soit enfin comme une capacité conquise ou investie par la violence par exemple. Souvent la question de la légitimité de l'autorité se pose, alors elle procède soit du rapport de force ou/et de celui de compétence. L'autorité est le droit ou le pouvoir de commander, autrement dit de se faire obéir. Et c’est en étant bien informées qu’elles peuvent grandir en confiance.Merci à toutes et tous pour votre écoute et votre participation.Rejoignez-nous et recevez les dernières informations de l'Université Vivante La question de l’autorité et de la légitimité L'autorité est le pouvoir d'obtenir, sans recours à la contrainte physique, un certain comportement de la part de ceux qui lui sont soumis. J’ai donc besoin d’information, de consultation, d’anticipation, afin de pouvoir sentir que les responsabilités que je prends en tant que directrice sont mesurées et sécurisées. Attention à ne pas confondre autorité et pouvoir. Ce n’est pas fermer les yeux non plus, en signe de confiance. » « OK, j’entends que tu aimes bien les couteaux, la place de celui là est dans la cantine donc je vais le prendre et le ranger, et en même temps, si tu veux, je t’accompagne demander à Stéphanie ou Thomas s’ils sont disponibles pour fabriquer un couteau ou une épée à la menuiserie. ».Lorsque la situation est dangereuse pour une personne ou un objet, nous n’hésitons pas à neutraliser l’enfant physiquement. Avoir le pouvoir revient à être capable de faire exécuter ce que l’on souhaite, à obtenir J’ai pris l’exemple du projet récent d’organisation d’une sortie avec les enfants : ce n’est pas que je ne fais pas confiance à quiconque. » Réponse : « Moi, j’aime bien les couteaux. Selon Max Weber, pour que le pouvoir et l’autorité soient acceptés, ils doivent jouir d’une légitimité qui peut être « traditionnelle » (l’héritier), « charismatique » (le chef) ou « légalo-rationelle » (autorité et pouvoir de la fonction, l’occupation de celle-ci reposant idéalement sur la compétence). Car il y a en effet des autorités et responsabilités. J’ai aussi besoin d’honorer la confiance que nous font les parents en nous confiant leurs enfants, et de leur donner les informations bien à l’avance. La relation de pouvoir oscille entre deux extrêmes de l’imposition du cadre de référence hiérarchique/disciplinaire à la négociation des objectifs et des moyens d’agir.L’autorité est personnelle. J’ai juste besoin de considération pour mes rôles, et pour la tension que j’ai face à certaines responsabilités.
L’autorité peut être considérée comme une supériorité grâce à laquelle un individu se fait obéir en inspirant croyance, crainte ou respect et s’imposant à leur jugement volonté ou sentiment. L’économie des contrats a renouvelé l’approche économique standard de la relation d’emploi en introduisant les notions de « hiérarchie » et de « pouvoir », éludant toutefois la distinction, classique chez Max Weber, entre « autorité » et « pouvoir ». Le pouvoir se manifeste :Dans le Contrat Social, JJ Rousseau ne réfute pas l’existence de l’autorité en soi mais en discute son emploi et sa légitimité. Au risque de susciter quelques quolibets, il n’est peut-être […] Ce qui peut perturber cette construction de sa propre autorité (= de son pouvoir personnel), c’est la soumission à une autorité déontique ou charismatique qui nous ferait croire que ce que nous vivons et ressentons intérieurement n’est pas valable, et qu’il faut s’en remettre à une autorité extérieure. Et dépend de sa vision du monde, optimiste ou pessimiste, ouvert ou fermé, positive ou sceptique et de ses valeurs essentielles déterminant le sens de l’action de l’équipe de travail rattachée.La « Motivation pour les Nuls », La « Méthode Coué-autosuggestion consciente », « Etre heureux avec la méthode Coué » et « Le Petit Dictionnaire de Pensées Positives » Nous n’attendons pas que la catastrophe soit produite.Nous avons aussi parlé de la confiance. I. Pouvoir, autorité et leadership : liens et divergences 1.La notion de pouvoir : Le mot «pouvoir » en français signifie à la fois le nom «pouvoir » et le verbe «pouvoir » ou «être capable » (Encyclopédia Universalis, 1993). • Il faut distinguer pouvoir et autorité : le pouvoir est une question de place de l’individu dans une structure, un appareil, tandis que l’autorité peut relever du charisme personnel, voire reposer sur la menace ou la corruption. Souvent la question de la légitimité de l'autorité se pose, alors elle procède soit du rapport de force ou/et … Elle est incarnée par le manager. Avoir le pouvoir revient à être capable de faire exécuter ce que l’on souhaite, à obtenir Est-il encore possible aujourd’hui en France de présenter une perspective ouvertement biblique sur la question de l’autorité et du pouvoir alors que la bipolarité ambiante se plaît de plus en plus à invoquer nos « racines chrétiennes » mais rejette totalement la substance de ces racines, leur fondement même ?