Mais je ne pense pas du tout à ça…»Il sait la versatilité du public. «Quand j'ai entendu le stade scander mon nom… C'était un truc de fou, confiait, la semaine dernière en conférence de presse, l'international. Dès sa première apparition en fait, le 30 novembre. Eclairez votre réflexion avec des points de vue, des idées et des contributions de tous horizons.Reprenez un temps d’avance avec Les Echos. Il a eu l'opportunité de montrer sa classe", apprécie ainsi le directeur du rugby Jono Gibbes, visiblement ravi de cette nouvelle concurrence à l'ouverture, poste sans certitude depuis le début de saison entre Ihaia West moins influent et le vétéran Brock James ne pouvant enchaîner.Cette renaissance, Plisson l'attribue avant tout à son nouvel environnement. D’autres enfants du club, Julien Arias et Laurent Sempéré, ont été nommés à la tête de l’équipe. Jules Bourdeaux avec ses amis lors d'un hommage à Brassens sur le quai du T2 du tramway parisien. Pour se requinquer.
J’ai des entraîneurs qui me font confiance. A l’image de cette magnifique chistera de 20 mètres envoyant Vincent Rattez à l'essai le week-end dernier lors de large victoire face à Agen. D’où son bonheur actuel. A la fin du match, mon père m’a dit qu'il avait été ému. Écarté par Heyneke Meyer pendant de longs mois au Stade Français Paris, son club formateur, le demi d’ouverture rebondit chez les Maritimes.
Jules Plisson, ouvreur du Stade Rochelais, se dit heureux dans son nouveau club. Rester ? Quand tu es bien dans ta tête, dans un environnement stable et avec des personnes qui veulent que tu joues, que tu progresses, forcément tes performances sont plus faciles. jeudi 2 janvier 2020 à 13:44 . "J'ai entendu le stade scander mon nom, si on peut dire ça comme ça, et c'était un truc de fou, reconnait l'international (16 sélections) de 28 ans. Quatorze ans au club pour en devenir le paria, forcément ça touche. Seulement sept titularisations en dix-huit mois pour l’enfant formé au club mais mis à l’écart par le manager sud-africain Heyneke Meyer. marine grangeon.
C’est l’histoire de ma carrière, résume Jules Plisson. "On ne lui a pas mis la pression, on l'a mis à l'aise dans le groupe", glisse ce dernier.
Je suis bien ici, j'ai des entraîneurs qui me font confiance. Où il a déjà fait son trou en seulement un mois.Il n’a pas tardé à mettre le fervent public de Marcel-Deflandre dans sa poche. J’ai 28 ans et, si j’arrive à enchaîner et à être performant, on ne sait pas ce qu’il peut se passer. "Le fait d'enchaîner les matches me permet de me rassurer dans mon jeu et surtout de lâcher toute cette frustration que j'avais accumulée depuis un an et demi. Il suffit que je fasse une ou deux bonnes prestations pour qu’on parle déjà de ça, souligne l’intéressé.
«J’ai de très bonnes sensations et je suis épanoui. L'ouvreur de La Rochelle, Jules Plisson (c), lors de la réception de Castres, en Top 14, le 29 décembre 2019 (XAVIER LEOTY) Publié le 2 janv. Franchement, je suis très bien ici. Notre ouvreur international Jules Plisson vous parle de Castres, prochain adversaire à domicile. Il y a des gens qui m’aiment bien et d’autres pas du tout. «C’est un domaine que j’ai continué à travailler dans mon ancien club et aujourd’hui je suis content de pouvoir être constant sur 80 minutes.»Il bénéficie également des conseils avisés de son nouvel entraîneur, Ronan O’Gara, l’ex-machine à buter de l’Irlande et du Munster. ... L'ancien Parisien Jules Plisson en larmes après la défaite de La Rochelle. Décryptez les conséquences de la crise sur l’économie, les entreprises et les marchés.
3,703 Likes, 17 Comments - Jules Plisson (@julesplisson) on Instagram: “☀️☃️☃️☃️☃️☀️” Je ne vous cache pas que j'en ai bavé", disait-il juste avant le match face à Agen. Mis au ban cet automne du Stade Français, son club formateur, l'ouvreur Jules Plisson a repris goût au rugby en s'exportant à La Rochelle, qui l'a déjà adopté.Une entrée en jeu à la mi-novembre pour assurer la victoire contre Castres (22-13) grâce à deux pénalités et voilà que les premiers +Plisson, Plisson+ n'ont pas tardé à fuser des travées du stade Marcel-Deflandre en guise de bienvenu au pays des huîtres, voire d'adoubement. Franchement ça fait chaud au cœur d’avoir un public comme ça, des gens qui soutiennent autant. Il sait que j'ai galéré pendant un an et demi et que je n'ai jamais rien dit. Alors, Jules Plisson buteur d’élite lui qui, par le passé, avait manqué quelques coups de pied décisifs ? Derrière, Agen (40-8), sorte de confirmation de son adaptation réussie avec des gestes inspirés frappés du sceau de la confiance comme cette chistera de 20 mètres envoyant Vincent Rattez à l'essai ou cette transversale au pied culottée déclencheur de celui de Pierre Aguillon. Venez-le soutenir lui et toute l'équipe ce samedi 10 septembre à 14h45 ! C’est impressionnant. Revenons à Marcel Deflandre. «Sur le jeu au pied, je ne pouvais pas mieux tomber qu’un mec comme Ronan pour progresser et être plus à l’aise. Tout bénéfique pour l'heure.Chaque jour, la rédaction des Echos répond à votre besoin d’une information fiable et vous aide à prendre les meilleures décisions.Conservez une vision globale de la situation, en France et dans le monde.