Alix Mazounie, membre de Greenpeace, et Julien Aubert, député LR, ont confronté leurs points de vue à ce sujet.Quelque 400 habitants vivaient dans la zone avant l'accident de mars 2011. Ces travaux, tirés des enseignements de l'accident nucléaire de Fukushima, doivent être terminés avant 2014 [121], [122], [123]. MONDE.
La première campagne a débouché sur la détection d’une tumeur cancéreuse qui a été retirée pour 98 enfants, soit un taux d’incidence de 11 pour 100 000. Il s'agit d'une façon de soutenir les personnes ayant perdu leur logement lors de la catastrophe de 2011. Depuis la catastrophe nucléaire de mars 2011, plus d'un million de tonnes d'eau contaminée, provenant des conduites de refroidissement de la centrale, sont stockées dans des réservoirs.La secousse, qui a été ressentie jusqu’à Tokyo, n'a fait ni blessé, ni dommage.Plus de 70 % de l'électricité française est produite par le nucléaire mais ce système fait débat. Installée dans la ville japonaise de Fukushima, elle a suscité des critiques dans une région qui lutte pour restaurer sa réputation depuis l'accident nucléaire de mars 2011.Au Japon, les habitants de Fukushima peuvent désormais se rebaigner.
Tous les 11 mars, le pays se fige pour honorer ses plus de 20 000 morts. Neuf ans après, la zone d'exclusion reste interdite aux civils en raison de fort taux de radioactivité.Les cérémonies se déroulent profil bas en ce 11 mars, 9 ans après le tsunami et l'accident nucléaire qui ont dévasté cette région du centre du Japon.Un hôpital vient de rouvrir à Futaba, des logements seront bientôt accessibles pour les travailleurs de la centrale et mercredi ce sont les gares qui rouvrent. Près de 10 ans après l'incident nucléaire à Fukushima (Japon), Koji Suzuki, un surfeur de 64 ans, aime voguer sur la plage de Minamisona, à une trentaine de kilomètres de la centrale.Le 11 mars 2011, la centrale nucléaire de Fukushima (Japon) était détruite par un tsunami. Concernant les travailleurs du nucléaire, aucun décès n’a jusqu’à maintenant été attribuable à l’exposition aux radiations .
Car l’accident de Fukushima a remis en évidence les problèmes de l’énergie nucléaire. Mais ils soulignent que le million de mètres cubes d'eau contaminée ne peut être rejeté dans l'océan qu'au compte-gouttes, comme dans le cadre du fonctionnement normal d'une centrale nucléaire.Cette solution, évoquée publiquement par un ministre japonais, est jugée réaliste par les experts. La Revue Générale Nucléaire créée le 1er févier 1975 à l’initiative de la Société Française d’énergie Nucléaire - SFEN Hormis une très légère hausse du taux d’avortement entre 2011 et 2012 (respectivement 0,06 % et 0,8 %) – qui baisse en 2013 (0,04 %) –, les taux de fausses couches, de naissances prématurées et de malformations à la naissance sont comparables à la moyenne nationale japonaise.Concernant les travailleurs du nucléaire, la loi autorise une exposition cumulée maximum en cas d’urgence de 250 mSv.
Ces problèmes ont tendances à baisser au fur et à mesure du temps, confirmant le rôle de l’évacuation dans leur survenue.Le dernier type de population suivie était celui des femmes enceintes. En cas de catastrophe, plus de deux millions de personnes sont concernées.Les anciens dirigeants de l'opérateur nippon étaient accusés de négligences ayant entraîné la mort d'une quarantaine de personnes lors de la catastrophe de 2011.Le tribunal de Tokyo a estimé qu'ils ne pouvaient être tenus responsables des conséquences de l'accident nucléaire de 2011.Huit ans après la catastrophe nucléaire de Fukushima, les anciens dirigeants de l’exploitant Tepco, seront fixés sur leur sort ce jeudi 19 septembre.Le rayon de protection en cas d'accident nucléaire est étendu à 20 kilomètres autour des centrales, contre 10 km auparavant. Il y a huit ans, un tsunami s'abattait sur les côtes japonaises et la centrale nucléaire de Fukushima, provoquant le plus grave accident depuis la catastrophe de Tchernobyl.
Il faut démanteler la centrale désormais, mais tout ne se passe pas comme prévu.Le retrait du combustible usé de la piscine de stockage du réacteur numéro 1 devrait débuter en 2027 ou 2028, alors qu'il était initialement prévu en 2023.Cette solution, évoquée publiquement par les autorités japonaises, est jugée réaliste par les experts. Les études ne montrent pas pour l’instant de lien entre les retombées radioactives et l’incidence des cancers de la thyroïde. Après l’accident nucléaire de la centrale de Fukushima, le gouvernement a arrêté, les uns après les autres, tous les réacteurs nucléaires du pays. À ce jour, sur les 46 490 personnes ayant travaillé sur la centrale, seulement 6 travailleurs ont dépassé cette limite, et 174 ont dépassé 100 mSv (ancienne limite, reprise en novembre 2011, leur nombre est stable depuis cette date).Le Comité scientifique de l'ONU sur les conséquences des émissions radioactives (UNSCEAR) estime que sur ces 174 travailleurs, 2 à 3 cas de cancers additionnels pourraient survenir en plus des 70 cancers environ attendus en l’absence d’exposition.Aucun décès de travailleur n’a jusqu’à maintenant été attribuable à l’exposition aux radiations[3].La surveillance épidémiologique est coordonnée par l’Université Médicale de Fukushima, en coopération avec d’autres institutions médicales.La dose limite légale d’exposition pour les travailleurs du nucléaire est de 20mSv/an.Le 20 octobre 2015, le Ministère de la santé japonais a dédommagé un ancien salarié de TEPCO ayant reçu une dose de 15,7 mSv en travaillant sur la centrale de Fukushima Daiichi et ayant développé un cancer.
Des campagnes similaires ont été menées dans des préfectures japonaises non touchées par les retombées radioactives (Aomori, Yamanashi…), afin de comparer les résultats, le taux d’incidence était alors compris entre 23 et 130 pour 100 000. L'autorité de sûreté nucléaire (ASN) considère qu'il n'y a pas de risques justifiant l'arrêt de l'exploitation de la centrale.