Il ne se conçoit qu'en milieu spécialisé et est d'abord fonction de la cause du coma.
je trouve ce site vraiment super Quoiqu'il en soit, des mesures sont systématiques :Il est très difficile de prévoir l'évolution d'un patient dans le coma. On parle d’état végétatif permanent après 3 mois en cas de lésion cérébrale non traumatique, et après 12 mois en cas de lésion cérébrale traumatique. Jardin : la culture du safran en 5 questions (un choc violent). L’EEG montre des anomalies spécifiques à chaque stade de coma. L'électroencéphalogramme montre un rythme plus ou moins ralenti. Il n'y a pas de contact possible avec le malade. En urgence, il doit surtout être distingué de l'arrêt cardio-circulatoire dont le traitement est très différent. La réaction au stimulus douloureux est toujours présente mais plus ou moins inappropriée. Cependant, dans certains cas, le lien entre le traumatisme et le coma (ainsi que la chronologie des évènements) est plus difficile : chez l'alcoolique, le vieillard, l'enfant, le traumatisme peut passer inaperçu (des chocs minimes peuvent, dans ces populations fragiles, entraîne… En l’absence d’amélioration, un état végétatif est dit « persistant » après un mois.
Dans les comas post-anoxiques, l’abolition de réflexe pupillaire ou cornéen ou un score moteur de Glasgow inférieur à 2 au troisième jour de la prise en charge sont des facteurs de très mauvais pronostic. Le coma est une abolition plus ou moins complète des fonctions de la vie de relation (conscience, motilité, sensibilité) alors que les fonctions de la vie végétative sont relativement conservées. En revanche, les comas traumatiques ont un pronostic plus difficiles.
C'est un diagnostic le plus souvent évident en fonction du contexte : accident de la voie publique, agression, chute, etc. Tag : coma, stades du coma, signes du coma, coma traumatique, coma éthylique, causes du coma, échelle de Glasgow , La course des 24 heures du Mans : Comment suivre l'épreuve Un examen neurologique complet (évaluant motilité, sensibilité, réflexes, tonus, pupilles, contrôle sphinctérien) et un contrôle des fonctions végétatives (respiration, pouls, tension artérielle, température) permettent déterminer la profondeur du coma. C'est un élément primordial pour la surveillance d'un coma prolongé. Au pire, il est plat. Stade 4 ou coma dépassé: pas de réponse aux stimulations, état de mort cérébrale. Les comas dus à une intoxication médicamenteuse sont généralement de bons pronostics. • stade 2 : le stade de la disparition de la capacité d'éveil ; la réaction au stimulus douloureux est toujours présente mais plus ou moins inappropriée. Quatre stades du coma sont distingués: - Le stade I (coma vigil, coma léger, obnubilation ou torpeur profonde):
L'électroencéphalogramme montre des ondes lentes diffuses avec réactivité aux stimuli extérieurs réduits.
Représentation des différents stades du coma, de droite à gauche: – l’état normal, – état de conscience minimale – état végétatif, – coma profond, – coma dépassé ou mort cérébrale. • stade 3 : le stade du coma profond ou coma carus ; il n'y a plus aucune réaction aux stimuli douloureux Les axes des abscisses et des ordonnées correspondent à la capacité cognitive et la capacité motrice. Coma stade 2: c'est le stade de la disparition de la capacité d'éveil du sujet. Comment aménager sa maison pour éviter les chutes ? Les différents stades du coma peuvent être également évalués par l’électro-encéphalogramme (EEG) qui est l’enregistrement de l’activité électrique du cerveau.